En manque d'âme, tu sanglotes
La peau pâle, soudain tu suffoques
Un vide, un creux, presque rien
Pas assez, désormais tu t'y tiens
Seule, ô solitude
Triste, ô triste habitude
Au réveil les yeux rougis
Tu réalises, tout est fini
L'autre oreiller n'emplume aucun rêve
Ce doux songe n'était qu'une trêve
Seule, ô solitude
Triste, ô triste habitude
A table, face à ton reflet
La casserole à moitié vide
Te fait un drôle d'effet
Tu souris, insipide
Seule, ô solitude
Triste, ô triste habitude
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire